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Gomel.1 (intro)

1.Gomel (intro)

Question :
Qui doit réciter le Gomel ?

Réponse :
La Guemara Berahotes 54,b rapporte que 4 personnes doivent réciter le Gomel :

1)Celui qui a traversé le désert,(ou qui à voyager d’une ville à l’autre sur une distance de plus de 4 Mil (soit >72 Min) pour la coutume Séfarade)
[Voir Yerouchalmi Berakhote 4,4 ;Choul’han Âroukh 219,7])

2)Celui qui a traversé la mer (ou un fleuve pour la coutume séfarade) [Beour Halakha 219,1; ‘Hazon Ovadia page 360])

3)Celui qui s’est rétabli de sa maladie (même alité 1 jour pour la coutume séfarade) [‘Hazon Ovadia page 371])

4)Celui qui est sorti de prison (mais pas pour une garde à vue) [Beour Halakha 219,1;’Hazon Ovadia page 360]

Cela afin de remercier hachem de nous avoir épargné d’une accusation causé par nos fautes (car le « Satan » accuse au moment du danger ). C’est la raison pour laquelle on dit dans le Gomel « Le’hayavime Tovote .. » [Penini Halakha perek 16,1].

Lorsqu’il y’a plusieurs personnes qui doivent réciter le Gomel,il sera recommandé qu’une seul personne récite le Gomel en pensant à acquitter les autres afin d’éviter le Tora’h Tsibour [Halikhote Berakhote 219,18 page 426 ] . Dans ce cas là ceux qui s’acquittent se tiendront également debout proche de celui qui fait la bénédiction en pensant également à s’acquitter [Halikhote Berakhote 219,10 page 419]

Lorsqu’une personne acquitte une ou plusieurs personnes, certains rapportent que l’on pourra dire dans la bénédiction du Gomel « Chéguémalanou » au lieu de « Chéguémalani » [‘Hazon Ovadia berahote page 355 au nom du ׳Hatam Soffer; Chema Chelomo ; Voir aussi le Mekor Neeman 1 siman 329 qui écris qu’on peut dire l’un comme l’autre]
D’autres sont d’avis qu’il faudra garder la version « Chéguémalani » [Halikhote Chelomo Perek 23 note 26; Chout Richone Letsiyone Tome 2 Siman 26] , et ainsi est la coutume la plus répandu ( Voir aussi le Halikhote Berakhote page 426 qui repousse la preuve du ‘Hatam Soffer ).
Il est a noté que selon le strict din une personne qui a voyagé peut acquitter une personne qui s’est rétablie d’une maladie et vice versa [‘Hazon Ovadia page 355].

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